L’entrepreneuriat au Québec avec Serge Beauchemin | L’Accélérateur #128 – Marco Bernard – Entreprenariat, social selling et marketing

[podcast src= »https://html5-player.libsyn.com/embed/episode/id/6841575/height/150/theme/custom/autoplay/no/autonext/no/thumbnail/yes/preload/no/no_addthis/no/direction/forward/render-playlist/no/custom-color/ed1c24/ » height= »150″ width= »100% » placement= »top » theme= »custom »]« Si un homme vide sa bourse dans sa tête, personne ne peut la lui prendre. Un investissement dans le savoir paie toujours les meilleurs intérêts. » – Benjamin Franklin

Cette citation présente bien mon invité du jour, Serge Beauchemin, qui depuis plus de 10 ans, partage ses expériences et connaissances notamment à titre de conférencier aux HEC Montréal, espérant ainsi leur transmettre sa passion et son énergie afin qu’ils poursuivent leurs rêves et démarrent leurs projets d’entreprises. Il est important pour lui de voir grandir l’entrepreneuriat au Québec.

Depuis avril 2011, Serge Beauchemin est également membre de Anges-Québec. Cet organisme vise à favoriser la rencontre d’entreprises en démarrage ou à la recherche de capitaux pour financer leur croissance et, d’autre part, des investisseurs d’expérience à la recherche d’opportunités de placement au sein d’une relève entrepreneuriale prometteuse. C’est toujours en voulant promouvoir l’entrepreneuriat au Québec qu’il accepte de participer à la fameuse émission «Dans l’œil du Dragon» en 2013.

Les questions posées à Serge Beauchemin au cours de cette entrevue

Quel est ton avis sur la citation du jour, de Benjamin Franklin,: «Si un homme vide sa bourse dans sa tête, personne ne peut la lui prendre. Un investissement dans le savoir paie toujours les meilleurs intérêts»?
Serge Beauchemin n’a pas besoin de présentation ici au Québec, mais quand même, pour les auditeurs qui habitent l’Afrique ou l’Europe, en quelques secondes, peux-tu nous donner une idée de ton parcours d’entrepreneur?
Récemment, le 14 mai en fait, tu as mis en place un projet qui a la mission de faire dire des entrepreneurs Québécois un peu partout sur le globe: «Oh my God, comment ils font ces Québécois pour être aussi bons dans toutes les sphères entrepreneuriales»? Peux-tu nous présenter ce projet?
Pourquoi «Alias entrepreneur»?
Une fois rendus à la mi-octobre, quelle sera la suite pour «Alias entrepreneur»?